Face à la mort du père, Anne Pauly invente une cavale littéraire aussi habitée qu’iconoclaste, déchirante et drôle, sans concession ni illusion face à la brutalité de l’événement qui révèle ce que la famille tentait de masquer. Alexandre Bergamini écrit la mort par suicide de son frère alors qu’il avait dix-huit ans, et que rien n’annonçait. Dans ces deux récits d’une grande force, l’invention d’une langue est à l’œuvre, qui fait voler en éclats tout désir d’idéal.
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