Dans Deux cents et quelques commencements, Marc Cholodenko signe un texte uniquement composé de débuts de romans inachevés, qui ouvre une réflexion sur les possibilités de la fiction, sur le sens de l’écriture romanesque, et sur la capacité du lecteur à « écrire » le livre qu’il est en train de lire. Dans Vies pøtentielles, Camille de Toledo entremêle des « micro-fictions » imaginaires avec une écriture beaucoup plus intime liée à son histoire familiale et à son rapport au monde. Dans les deux cas, des livres dont la forme permet une liberté de lecture totale, et une multitude d’interprétations possibles.
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