Depuis Baise-moi, publié en 1994, Virginie Despentes s’est imposée comme un écrivain majeur avec notamment Les Jolies Choses (prix de Flore 1998), Apocalypse bébé (prix Renaudot 2010), autant de livres qui ont été adaptés au cinéma. Ce soir elle vient accompagnée du groupe de rock Zëro pour payer une dette littéraire : celle qu’elle doit au mythique Requiem des innocents de Louis Calaferte. Un texte fort, déclamé au rythme de la musique de Zëro, rendant plus oppressant encore ce terrible récit d’une enfance volée. Louis Calaferte publie Requiem des innocents en 1952 chez Julliard, souvenirs romancés d’enfance où se laissent déjà entendre des accents de révolte.
Appuyez sur “Entrée” ou cliquez sur l’icône de recherche pour afficher les résultats.