Dans À ce stade de la nuit, Maylis de Kerangal offre une variation sur le nom de Lampedusa, un terme qui ramène autant au Guépard (adapté par Visconti au cinéma) qu’à la terrible réalité des migrants en Méditerranée… Une démarche comparable à celle d’Hélène Gaudy et Alexandre Bergamini dont les derniers romans tentent de reconstituer la mémoire des lieux et des personnes marqués par la Shoah, à travers des enquêtes et des témoignages, en particulier sur les camps de Terezin et de Westerbork. Avec la volonté d’éclairer, grâce à l’écriture littéraire, des destins mutilés et des lieux maudits à tout jamais.
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