Dans son nouveau livre, Les Porteurs d’eau, Atiq Rahimi explore de nouveau l’histoire de l’Afghanistan avec un roman dont l’intrigue se déroule le 11 septembre 2001, jour de la destruction des bouddhas de Bâmiyân. A travers les destins de deux afghans, l’un à Paris et l’autre dans une Kaboul occupée par les Talibans, il livre un regard passionnant et incarné sur des motifs récurrents de son oeuvre : la cruauté des hommes, la violence de l’histoire, la douleur de l’exil, mais aussi la force de l’émancipation individuelle et de la culture.
Animé par Catherine Pont-Humbert.